Yima Soleil

Bonjour … à tous ceux qui Cheminent sur leur propre Chemin de Vie afin de redevenir des Vrais Hommes. 

Natifs de cette planète, mes compagnons et moi réalisons que les « Vrais Hommes »  puisent dans leurs racines lointaines et dans leur génétique un Savoir toujours présent en eux. Ce Savoir remonte avant même la venue des « Hommes Mutants » au sein de nos contrées sur notre propre Planète, au Temps de la Forêt des Ifs, où l’Esprit Humain parlait aux Plantes, aux Animaux et aux Êtres Essentiels.

Dans la tradition des Hommes Vrais, les Savoirs Spirituels sont inscrits de façon innée dans nos gènes en chacun de nous, ce qui s’est formulé et manifesté dans l’expression Vivante de notre propre « Valise », utilisée comme les Voyageurs Éveillés le font.

Documents joints :

PARTIE 1

– Mondes et Symboles en déclin

PARTIE 2

– Roues de Vie

PARTIE 3

– Le Chemin de Vie

RESUME

Rafraichissement des ceintures spirituelles et simplification de la carte du voyageur

NOUVEAU

Le Manuscrit du Voyageur

En fait, qui sont les « Vrais Hommes » ?

Ce sont ceux qui savent toujours utiliser perpétuellement leurs bagages de leur Propre  Savoir qui est contenue dans leur Propre Valise Spirituelle dans l’art et l’usage de leurs capacités comme étant des Véritables Voyageurs Éveillés et Conscients dans tous les Plans d’existence, même sur Terre.

Comme Voyageur, on me donne le surnom familier de Yima, dit le Voyageur Sans Nom.

Pour faire une courte présentation de Yima, il faudrait que vous remontiez dans l’histoire d’un Savoir qui existe depuis l’Aube de l’Éternité. Une grande partie de ce Savoir Inné découle de ma capacité d’être un Voyageur Éveillé depuis ma tendre enfance. Il faut dire  que mes racines autochtones m’ont permis de regarder sous un nouveau regard l’existence des Vrais Hommes et des Mutants.

Le Voyage Éveillé n’a rien à voir avec l’expression dite du « voyage astral », ni d’une expression simpliste et ou mentaliste qui serait dénuée de son vrai sens pour un Véritable Voyageur.

Partager avec vous ces 3 Manuscrits, c’est vous faire regarder sous un autre angle notre Origine et notre Devenir Commun.

Toujours est-il que ces Documents Manuscrits que vous retrouverez en pièce jointe sont vraiment autre chose que ce à quoi quiconque puisse être habitué à lire et à regarder.

Notre Communauté, le Clan du Caribou Blanc, a décidé de partager ces Savoirs et ces Connaissances qui proviennent de nos vécus, de nos expériences et de nos capacités comme VOYAGEURS.

Ces documents furent réalisés par un groupe dont je fais parti.

Vous verrez que le Tout est bien imagé. Images souvent inédites…

Ne vous découragez pas si vous ne comprenez pas tout de suite, c’est normal, c’est un nouveau paradigme surement pour plusieurs.

En fait comme nous vivons dans un monde où tout est à l’envers, adopter la position de la Conscience, comme le fait un Observateur rectifiant la réalité, chavire bien des concepts.

Ne Vous en offusquez pas, et permettez-vous de comprendre le monde sous un autre regard… vous pourriez l’apprécier ! Et espérons que vous allez cheminer vers votre état de Vrai Homme.

Le Paradigme de L’esprit Humain, il doit être un Esprit Voyageur.

L’Esprit du Voyageur n’est pas fait pour se plaindre ou se complaire, pas plus que pour la victoire ou la défaite. L’Esprit du Voyageur est seulement destiné au Voyage de l’Esprit, chaque Voyage Spirituel est un Voyage de plus pour qu’il puisse mûrir son Savoir sur Terre. Lors de ses Voyages sur Terre, le Voyageur laisse son Esprit flotter, libre et pur et pendant qu’il Voyage Consciemment, son intention est impeccable, et le Voyageur ne cesse pas de rire.

Qui sont les 144,000…?

« Les 144 000 » est une appellation antérieure à la Création de la planète Terre, on les nommait les « Guerriers du Cœur » car ils étaient issus du Monde des Étoiles. On les nommait les « Êtres des Étoiles ».

En fait, les Guerriers du Cœur se sont toujours manifestés durant le très long trajet de l’Esprit Humain sur la Rivière de Vie, depuis le tout début, dans toutes les Manifestations qui sont apparues et qui ont nourrit cette Rivière.

Les Guerriers du Cœur ont vécus dans tous les Plans de Conscience qui se sont manifestés. Ici, sans rentrer dans les détails, il est seulement important de se rappeler et de comprendre que tous ces Savoirs sont innés et déjà inscrits dans chaque Esprit Voyageur.

Ils ont toujours suivit les pérégrinations de l’Esprit Humain depuis l’aube de la Création sur la Rivière de Vie.

Comme Voyageur, tous mes Voyages m’ont conduit à cette conclusion et ceci s’explique brièvement par…

« Rien n’est jamais Fermé sinon tes propres Yeux. » Proverbe Persan.

« A ceux qui, depuis le jour de leur naissance, n’ont point ambitionné les richesses terrestres, mais se sont regardés comme un Esprit Voyageur sur la Terre. » Livre d’Enoch, Chapitre 105, Paragraphe 24.

Pour réussir dans les Mondes Spirituels, il faut appliquer trois Principes :
Voir – c’est Savoir,
Vouloir – c’est Pouvoir,
Oser – c’est Avoir.

L’Art du Voyage Conscient, c’est se donner l’accès au Savoir qui est inné en nous.

Le nom Yima exprime le Voyage qui est inné pour tous les Voyageurs.  Elle est  l’une des Guerrières du Cœur. Notre Savoir vient de notre Génétique Spirituelle, elle dépasse de très largement la génétique du Corps Physique mais influx sur le corps physique.

Nous sommes donc tous ici présent au rendez-vous dans nos agir, afin d’être garant de cette Conscience qui est toujours vivante dans nos Cœurs.

Le Voyage vécu donne une Vision Spirituelle autre que celle qui est formulée par la Bible. Souvent le message qui fut livré par cette dernière fut modifié, altéré et souvent imposé par la tuerie et la barbarie.

Originalement pour les Vrais Hommes, la Vision de la Vie venant de la Bible était inexistante dans notre culture chez les Vrais Hommes. Elle est devenue comme un fruit amer, imposé contre Nature, mais malgré tout, nous nous rejoignons lorsque nous parlons de l’Humanité entière dans le sens de la Vie.

Remarque oblige : on voit que peu d’humains connaissent la Vraie Culture des Vrais Hommes et des Vrais Savoirs. De plus, on s’aperçoit à notre époque que souvent on altère et modifie les Savoirs présent en Chacun de Nous.

Toute forme d’Ethnocide contre les Vrais Hommes est à exclure dans ces documents transmis.

Le Savoir qui est transmis ici est bien un Savoir qui permet de regarder la Vie dans une dimension plus globale.

Le temps est venu de dire à nos frères et sœurs qui ont oublié, ou altéré les Savoir, de remettre toutes les pendules de notre Savoir Humain à Notre Heure, l’Heure Naturelle, comme des Vrais Hommes, sans la contrainte des Hommes Mutants.

A notre époque, plusieurs prétendent parler au nom des Vrais Hommes, comme porte-parole, en affirmant être des Vrais Hommes.

Pourtant les raisonnements de la plupart des humains modernes sont exclusivement basés sur un système illusoire qui ne tient compte que de l’économie et non de la vraie nature des Vrai Hommes.

Qu’est qu’un Shaman ?

Dans notre lexique d’anthropologie moderne, le terme « Shaman » est une expression qui fut empruntée à la région la plus septentrionale de la Steppe Sibérienne qui est le seul endroit sur terre ou on utilisait ce terme. Elle fut introduite par le courant de la pensée l’intellect en Amérique.

Aussi, aujourd’hui la confusion et le ridicule pousse certains humains à utiliser le mot Shaman, ou même se faire appelé Shaman, durant des pratiques de Cérémonies Amérindiennes…

Ici en Amérique le terme Shaman n’a pas de sens profond.

Avant la venue des Européens, nous portions le nom de « In nu ». Ce terme désignait simplement le sens d’être des Vrais Hommes, des Voyageurs de Conscience Éveillés, ou des Gardiens du Savoir qui se transmettaient dans notre tradition Orale, ou bien par les Ceintures Spirituelles appelées les « Wampum Spirituelles », ainsi que dans les Roues de Vie. Pour l’Homme Vrai, cela permettait de pratiquer la Quête du Savoir qui est Permanente.

Pour les Vrais Hommes, vivre le Voyage Éveillé, c’est vivre la Quête du Savoir de façon perpétuelle en lui permettant de déboucher sur un Savoir plus authentique…

Espérons que chacun prendra le temps de lire la Sagesse des Vrais Hommes.

Nos documents ne sont aucunement liés à une appartenance religieuse ou un dogme. Ceux-ci ne découlent que des Lois Naturelles vécu lors de notre Quête permanente du Savoir. Les documents ont comme objectif premier de redonner un authentique Sens Sacré de notre véritable Savoir Spirituel et plus précisément celui qui appartient aux Vrais Hommes.

Il vous sera loisible (permis) de les partager pour que leurs Savoirs résonnent dans le Vent de la Création.

N’hésitez pas à faire part de vos impressions sur le forum, ou en commentaire sur cette page pour échanger nos ressentis de Voyageur de Conscience.

Signé : Yima Soleil

Bible Louis Segond

Louis Segond

né le 3 mai 1810 à Plainpalais (Suisse) et mort le 18 juin 1885 à Genève, est un pasteur protestant et théologien qui, à la demande de la Compagnie des pasteurs de Genève, a traduit la Bible en français à partir des textes originaux hébreux et grecs, la traduction Segond.

Il est issu d’un milieu modeste. Son père, catholique d’origine française qui a servi dans l’armée napoléonienne, tient une échoppe de cordonnier dans la rue de la Croix-d’Or à Genève. Sa mère est protestante genevoise. Les deux fils du couple sont baptisés dans l’Église réformée.

Après ses études secondaires achevées en 1826, il étudie les sciences naturelles et la médecine à l’Académie de Genève, puis la théologie à la Faculté de théologie protestante de Strasbourg. Durant ses études, il remporte un concours organisé par la Compagnie des pasteurs de Genève sur le thème du dogme de l’immortalité de l’âme chez les Hébreux. En 1834, il soutient une thèse de baccalauréat en théologie avec une sur le livre de Ruth et il prend un poste pastoral à Genève. En 1835 il soutient une thèse de licence de théologie sur Qohelet et un travail en latin sur la représentation vétéro-testamentaire du Shéol. En 1936, il soutient une thèse de doctorat en théologie intitulée De la nature de l’inspiration chez les auteurs et dans les écrits du Nouveau Testament.

En 1836, il fonde à Genève une société d’exégèse du Nouveau Testament qui subsiste jusqu’en 1841. Entre 1838 et 1840, il prépare des cours libres sur l’histoire de la langue hébraïque (1838) et sur l’interprétation de la Genèse (1839-1840). En 1840, il est nommé pasteur de la paroisse de Chêne-Bougeries, près de Genève, où il exerce son ministère durant vingt-quatre ans, tout en poursuivant des recherches sur la langue hébraïque et l’Ancien Testament. Il publie notamment, en 1841, le Traité élémentaire des accents hébreux, en 1856 la Géographie de la Terre sainte et en 1864 la Chrestomatie biblique qui est un ébauche d’une traduction complète de la Bible.
En juillet 1864, il démissionne de ses fonctions paroissiales et se met à la disposition de la Compagnie des pasteurs de Genève qui souhaite une nouvelle traduction de l’Ancien Testament, à la fois fidèle aux textes originaux et exprimée dans une langue actuelle. Il signe avec la Compagnie des pasteurs de Genève une convention qui stipule que le travail de traduction de l’Ancien Testament sera établi en six ans et qu’à la fin de chaque année, il rendra compte de son avancement, tout en ayant le dernier mot dans l’éventualité de remarques de la Compagnie des pasteurs. Après avoir calculé le nombre de versets qu’il aura traduire chaque jour, Louis Segond se met au travail. Jamais il n’a pris de retard dans son programme. On rapporte qu’il pesait chaque mot de son texte, mais qu’une fois écrit, il se refusait à en changer le moindre détail. Sa traduction est achevée fin 1871, cependant, la publication avait été faite progressivement. Le version intégrale est publiée en 1873 (avec la date de 1874) aux Éditions Cherbuliez.

La Bible Louis Segond

Bible J. F. Ostervald

Jean-Frédéric Ostervald

Né à Neuchâtel, fils du pasteur de la ville Jean-Rodolphe Ostervald (1621-1682), il effectua ses études à Zurich (1677-1678) puis fit un Grand Tour en France, où il se rendit en particulier à l’Académie de Saumur (1678-1681), à La Rochelle (1681), à Orléans (1681) puis à Paris. À Saumur, il défendit, sous la direction de Pierre de Villemandy, ses Assertiones de principiis rerum naturalium (1679) ainsi que des Theses ex Dialectica, Pneumatologia, Physica et Ethica (1679) et devint maître ès arts à 16 ans. Ostervald poursuivit ensuite ses études à Genève (1682-1683) avec le théologien Louis Tronchin (1629-1705), avec lequel il entretint une importante correspondance (1683-1705).

Consacré à son retour à Neuchâtel (1683), il fut nommé diacre (1686) puis pasteur de la ville (1699). Durant sa vie, il fut plusieurs fois doyen de la Compagnie des pasteurs de Neuchâtel et gagna rapidement une influence certaine sur le corps pastoral et l’Église de Neuchâtel.

Soucieux des bonnes mœurs et du développement de la piété, il publia en 1700 son Traité des sources de la corruption qui règne aujourd’hui parmi les chrétiens (Amsterdam, 1700), dans lequel il s’attaqua entre autres aux dogmes de l’orthodoxie calviniste qui lui semblaient favoriser le relâchement des mœurs. En 1702 parut son Catéchisme, qui fut pris pour cible par les théologiens de Berne en raison de sa supposée hétérodoxie. Ces deux œuvres, véritables succès de librairie, furent traduites en de maintes langues et rééditées jusqu’au xixe siècle. À la suite du catéchisme, Ostervald entreprit la réforme du culte de l’Église de Neuchâtel dont le résultat fut la publication, en 1713, de la Liturgie ou maniere de celebrer le service divin dans la principauté de Neufchatel qui sera en service durant près de deux siècles. Membre de la Society for the Propagation of the Gospel et de la Society for Promoting Christian Knowledge, Ostervald voua un grand intérêt à la mission. C’est ainsi que ses œuvres furent diffusées dans le monde (en particulier son Catéchisme), traduites et utilisées dans les missions chrétiennes en Amérique, en Inde et en Insulinde.

En 1701, Ostervald entreprit de donner une formation de base aux candidats au pastorat, enseignement qui sera à l’origine de l’actuelle Faculté de théologie et constituera de fait une des racines de l’université de Neuchâtel. Outre l’enseignement de la théologie par Ostervald, les étudiants purent bientôt compter, à partir de 1732, sur un enseignement en philosophie dispensé par le réfugié huguenot Louis Bourguet (1678-1742). Les cours d’Ostervald furent pour la plupart publiés ; ainsi son De l’exercice du ministère sacré (Amsterdam, 1737), son Ethicae christianae Compendium quod olim in usus domesticos destinatum, discipulis auctor excribendum tradit (Londres, 1727 ; traduit en français : Morale chrétienne, La Neuveville, 1740) ainsi que son Compendium theologiae Christianae (Bâle, 1739). Ostervald contribua également substantiellement au développement de la bibliothèque des pasteurs de Neuchâtel, fondée vers 1540 et qui conserve toujours une part importante de ses manuscrits.

Ostervald est surtout demeuré dans les mémoires par la Bible qu’il fit publier en 1744, qui n’est pas une traduction mais une révision de celle des pasteurs de Genève. La Bible d’Ostervald a été une référence et fut largement utilisée pendant 150 ans, jusqu’à la fin du xixe siècle. Un aspect important de la popularité de la Bible d’Ostervald fut qu’elle était accompagnée de commentaires ainsi que de réflexions morales et pieuses sur tous les chapitres de sa traduction. Ceux-ci étaient censés être lus durant le culte. Ils parurent indépendamment en 1720 pour la première fois sous le titre Arguments et Réflexions. En 1779 sortit une édition exceptionnelle de la Bible incluant des gravures4 illustrant les scènes bibliques, réalisées à 15 ans par Abraham Girardet , un artiste du Locle. Le texte a été de nouveau révisé en 1996.

Jean-Frédéric Ostervald et deux autres théologiens, Jean-Alphonse Turretin et Samuel Werenfels , formèrent ce qu’on appelle le triumvirat helvétique.

De son mariage avec Salomé Chambrier, Ostervald eut quatre enfants, dont deux fils :

Jean-Rodolphe Ostervald (1687-1763), pasteur de l’Église française de Bâle et auteur d’ouvrages de piété ;
Samuel Ostervald (1692-1769), homme politique neuchâtelois qui partagea son temps entre les fonctions publiques et l’étude de la jurisprudence, et consacra ainsi plus de vingt ans à l’élaboration d’un recueil de textes de droit coutumier qui parut après sa mort sous le titre Les loix, us et coutumes de la souveraineté de Neuchâtel et Valangin en 1785.

La Bible J. F. Ostervald

Bible J.N. Darby

 

John Nelson Darby (né le 18 novembre 1800 et mort le 29 avril 1882) est un prédicateur chrétien évangélique. Il est principalement connu comme l’un des fondateurs des Assemblées de Frères et la figure principale de leur branche exclusive, ainsi que comme le traducteur en plusieurs langues de la Bible. Il naît à Londres dans la Cité de Westminster au sein d’une famille influente originaire d’Irlande. Le deuxième prénom, Nelson, rend hommage à lord Nelson un ami de la famille. Darby est le neveu de l’amiral de la Royal Navy Henry D’Esterre Darby.

Il fait de brillantes études en humanités à Westminster School puis à Trinity College, Dublin, et se convertit au cours de sa scolarité. Il songe un moment à être avocat, mais y renonce rapidement, pensant que ce ne serait pas compatible avec sa foi. Il est alors ordonné pasteur anglican en Irlande.

En octobre 1827, après un grave accident de cheval, Darby consacre sa convalescence à réfléchir à la relation entre l’homme et Dieu. Il en naît une conception révolutionnaire des institutions ecclésiales : pour lui, nul besoin d’une organisation pour se réunir entre chrétiens, nul besoin de l’ordination (chaque croyant est fait prêtre, sans aucune ordination) ; il conclut même que la notion de clergé est un affront fait à Jésus-Christ. Rapidement, Darby s’associe à des gens qui partagent les mêmes idées que lui, notamment Benjamin Wills Newton (en), et ils se réunissent périodiquement à Dublin pour rompre le pain (rappel du sacrifice de Jésus-Christ sur la croix).

Darby reste au sein de la Communion anglicane jusqu’en 1836, puis c’est la rupture, à la suite de prises de position publiques radicales, engageant les fidèles à se détourner de l’Église officielle. Il écrira ainsi dans son Étude sur la seconde épître de Paul à Timothée : « Là où est la forme sans la puissance, nous ne devons pas aller ; et plus que cela, dans un sens positif, nous devons nous retirer de telles gens. »

Jusqu’en 1848, il est associé directement avec le courant des Plymouth brethren ou Assemblées de Frères. Il est un ambassadeur très efficace en Grande-Bretagne, en Suisse, en France… de ce nouveau courant. Mais, progressivement, dans plusieurs domaines, ses positions provoquent une forte contestation notamment sur sa conception de l’apostasie de la chrétienté ou du baptême des enfants. Par la sévérité des exclusions qu’il a prononcées dans les années 1840, les Assemblées de Frères aboutissent à leur plus grande division en 1848. Une aile « exclusive » suivra les positions de Darby, et les autres suivent l’approche plus « ouverte » de George Müller, Craik ou Chapman.

Darby voyage en Europe, rassemblant au passage des « frères » — en vieil anglais, brethren, nom que se donnent les groupes, ailleurs on parle aussi de « piétistes », de « darbystes » ou de « momiers ». Il voyage ensuite en Amérique, en Australie et en Nouvelle-Zélande. Les frères ne s’appellent jamais « darbystes » eux-mêmes, ils préfèrent le terme de « frères » en français, « brethrennote 1» en anglais.

Les frères insistent notamment sur les points suivants :

le Christ seul chef légitime de l’Église,
l’unité de tous les chrétiens, quel que soit leur milieu,
la nécessité pour les chrétiens de ne plus se réunir sous des dénominations diverses mais uniquement au nom de Jésus-Christ, seul centre du rassemblement des chrétiens (« là où deux ou trois sont assemblés en mon nom, je suis là au milieu d’eux » Mt 18:20),
le sacerdoce universel, spontané et « immédiat » (sans médiation d’un clergé),
la nécessité d’une foi personnelle et réelle.
Les groupes sont en communion réciproque et sous la direction directe de Jésus-Christ sans intermédiaire humain.

Il meurt en 1882 et est enterré à Bournemouth, dans le Dorset en Angleterre.
Darby qui connaît six langues (hébreu, grec ancien, anglais, français, allemand et italien), traduit la Bible, directement à partir des textes hébreu et grec, en trois langues: anglais, allemand et français. La première publication[Laquelle ?] a lieu en 1859. Cette traduction a pour particularité d’être très littérale, de vouloir avant tout respecter le texte, en sacrifiant au besoin l’élégance du style, voire la clarté du texte traduit. Il rédige aussi un synopsis de la Bible, de nombreux commentaires bibliques, des traités doctrinaux. Sa correspondance est également très abondante. Sa formation anglicane laissa des traces dans sa doctrine concernant les peines éternelles. Cyrus Ingerson Scofield s’inspira de la Bible Darby pour la Bible annotée par lui-même et qui est aujourd’hui la Bible commentée de référence aux États-Unis.

La Bible Version J.N. Darby 1872

Bible Chouraqui

Nathan André Chouraqui, né le 11 août 1917 à Aïn Témouchent, Algérie2 et mort le 9 juillet 2007 à Jérusalem, est un avocat, écrivain, penseur et homme politique israélien, connu pour sa traduction de la Bible, dont la publication, à partir des années 1970, donne un ton différent à sa lecture. Il a passé son enfance en Algérie, où il a notamment étudié la Torah avec son rabbin. Il a ensuite fait des études en France, où il rejoint la Résistance. André Chouraqui fut avocat au barreau d’Oran (1940-1941), puis juge dans le ressort de la Cour d’appel à Alger (1945-1947). Il est promu, en 1948, docteur en Droit international public à l’Université de Paris.

En 1958, André Chouraqui s’installe en Israël et en 1965, il est élu vice-maire de Jérusalem.

En 1987, paraît chez Desclée De Brouwer sa traduction de la Bible à partir de la Bible dite massorétique, d’abord publiée par volumes à partir des années 1970. Marc Leboucher, qui fut le premier à éditer ce texte en France estime qu’André Chouraqui a adopté dans son travail « un parti pris révolutionnaire, qui a permis de redécouvrir des textes que l’on croyait usés » et qu’« il a surtout mis en lumière l’importance des racines juives du christianisme et rappelé que Jésus appartenait au peuple juif. »

La Bible Version Chouraqui

Bible Jérusalem

La Bible de Jérusalem est le nom donné à une série de traductions de la Bible élaborées sous la direction de l’École biblique et archéologique française de Jérusalem. La Bible de Jérusalem a d’abord été publiée de 1948 à 1955 sous la forme de 43 fascicules comprenant chacun la traduction, une introduction et un apparat critique. Sa réalisation est due au père dominicain Thomas-Georges Chifflot, directeur littéraire aux Éditions du Cerf, en étroite collaboration avec Roland de Vaux, directeur de l’École biblique dominicaine. L’entreprise de traduction des 43 fascicules a associé 33 traducteurs exégètes à une douzaine de professeurs d’université ou d’Ecriture.

La Bible de Jérusalem

Bible Crampon

Augustin Crampon étudia la théologie et l’exégèse biblique sous la direction de l’orientaliste Arthur Le Hir (1811-1868) puis dispensa lui-même cet enseignement au séminaire du diocèse d’Amiens à Saint-Riquier. Il se consacra d’abord à la traduction des évangiles, partant du texte grec, et tenant compte du style propre à chaque évangéliste ; ce travail fut publié en 1864. L’introduction présente cette publication comme la négation de la Vie de Jésus d’Ernest Renan parue avec un grand retentissement l’année précédente (Ernest Renan avait lui aussi étudié sous la direction d’Arthur Le Hir). Le texte est accompagné de très abondantes notes historiques et exégétiques, écrites dans un style accessible à tous les lecteurs. Une édition « populaire » avec des notes allégées et plus claires parut en 1865.

L’abbé Crampon conserva la transcription Jéhovah du tétragramme YHWH, obtenue en combinant les consonnes hébraïques avec les voyelles du mot hébreu Adonaï (« Seigneur »).

Devenu chanoine de la cathédrale d’Amiens, Auguste Crampon poursuivit son travail sur l’ensemble du texte biblique, annotant copieusement le texte de remarques historiques, géographiques ou morales. Son œuvre fut interrompue par sa mort, en 1894, alors que le premier des six volumes, le Pentateuque était sous presse. Reprise à la demande de l’éditeur par des pères jésuites et des professeurs de Saint-Sulpice, la « traduction Crampon », complétée et révisée, parut en édition bilingue, le texte latin de la Vulgate figurant en regard du texte français, en 1904 en sept volumes. Une version en un seul volume, uniquement en français, avec des notes allégées, fut publiée parallèlement par Desclée à Tournai en 1905. Une nouvelle édition légèrement révisée parut en 19232.

La Bible Catholique Crampon 

 

Chico Xavier

Nosso Lar : Notre Demeure

Nosso Lar : ‘Notre Demeure’ est une super production brésilienne basée sur l’ouvrage le plus connu du médium brésilien Chico Xavier. A travers le personnage d’André Luiz, il décrit avec beaucoup de détails ce qu’est la vie dans l’au-delà.

La vie après la mort est le thème principal de cette histoire, sur la transformation d’un homme durant sa surprenante et éclairante expérience dans une dimension spirituelle de l’autre monde d’où nous venons.

 

Basé sur le livre « La vie de Chico Xavier » du journaliste Marcel Souto Maior, ce film décrit l’histoire du médium Chico Xavier qui vécut jusqu’à l’âge de 92 ans.

 

C’est une vie de médium spirite, que vous découvrirez, entièrement dévouée à son prochain bénévolement.

C’est aussi une vie de luttes avec une production médiumnique impressionnante, plus de 400 ouvrages psychographiés sous l’influence des Esprits vendus à plus de 30 millions d’exemplaires.

Il a fait don de tous les droits à des organismes de bienfaisance. « Je n’ai rien écrit.Ils, les esprits, ils ont écrit » répéta-t-il sans cesse. Francisco Cándido Xavier fut le médium brésilien le plus célèbre et le plus prolifique du XXe siècle.

Il popularisa grandement la doctrine spirite au Brésil. En 1981, le Brésil proposa officiellement Chico Xavier comme candidat au Prix Nobel de la paix.

 

Sorti sur les écrans au Brésil en 2010, ce film a connu un très grand succès national.

Resté en salle pendant 6 semaines, il a remporté le plus fort taux de fréquentation dans son pays pour l’année 2010.

Les Mères De Chico Xavier

 

 

Thiaoouba, la planète dorée

Thiaoouba, la planète dorée:

Michel Desmarquet fait un voyage extraordinaire jusqu’aux confins de notre galaxie, vers la planète Thiaoouba. En rêve? Non, en chair et en os. Il est guidé dans son voyage par Thao, qui va lui faire découvrir mille trésors et révélations. Découvrez cette épopée véridique. ICI