Projet haarp

un projet scientifiquo-militaire états-unien, né en 1993, basé en Alaska, et créé pour être pleinement actif en 2001. C’est un des rares projets officiels à être financé tant par le ministère de la Défense que la Navy.

Derrière ces lettres se cachent les mots « High-frequency Active Auroral Research Project », soit « programme de recherches sur les hautes fréquences de l’ionosphère et les aurores boréales ». Il consiste en 180 antennes disposées selon un quadrillage précis. Le but avoué étant d’envoyer plus de 1.7 gigawatts (1.7 milliards de watts) de puissance radiante dans l’ionosphère, la couche de particules chargées en électricité qui gravitent au-dessus de l’atmosphère terrestre, afin d’étudier son comportement. Et tout cela en maintenant le plus grand secret quand aux nombreuses applications dérivant de cette pratique…

En clair, cet appareil est un énorme transmetteur de fréquences radio, littéralement destiné à faire bouillir la haute atmosphère.

Les ondes émises à de haute fréquence perturbent l’ionosphère et retombent cette fois-ci sous forme de basse fréquence vers la Terre, pénétrant nos corps, le sol, les océans, etc.

Alors que la polémique enfle au sujet des téléphones portables, du wi-fi et des nombreuses antennes qui nous entourent, voici un aspect de la pollution électromagnétique qui reste censuré par nos médias si prompts à oublier le bien commun en évitant d’informer la population.

Selon de nombreux chercheurs, les technologies HAARP peuvent être détournées à des fins militaires, devenant une arme de dernière génération, un instrument à tout faire dépassant les rêves des généraux les plus belliqueux. Les « gros gars aux grands jouets » se sont offert le plus grand parc d’attraction du monde.

Il existe d’autres réchauffeurs ionosphériques sur le globe, mais aucun n’a une fiche technique aussi alléchante. Cette installation permet d’introduire des quantités d’énergie sans précédent à des endroits stratégiques de l’atmosphère terrestre, tout en maintenant le niveau d’injection de puissance, ce qui offre beaucoup plus de précision et de facilité d’utilisation.

Voici quelques-unes des applications issues de cette remodelisation des découvertes de Tesla, fameux ingénieur du début du siècle passé.

– parasitage ou brouillage des systèmes de communication électroniques

– augmentation de la température et de l’activité des particules chargées de l’ionosphère, ce qui permet une manipulation du climat à l’échelle planétaire, en modifiant le régime des vents dans la haute atmosphère, ou en ionisant certaines zones pour diminuer les masses d’air humide

– destruction ou détournement d’avions comme de missiles, en soulevant très haut de vastes régions de l’atmosphère

– influence sur les états émotionnels et processus mentaux de toute forme vivante, ce qui implique un possible contrôle mental de chaque être humain, individuellement ou en groupe.

– perturbation des écosystèmes et donc influence directe sur l’autonomie alimentaire d’un pays ou de sa population

L’armée américaine cherchait officiellement à développer un système de communications avec des sous-marins en plongée ou à créer artificiellement des aurores boréales et tenter de capter l’énergie qu’elles contiennent, mais ils ont finalement mis au point un jouet bien plus polyvalent, et ceci sans véritables gardes-fous pour contenir leur soif de pouvoir.

Le plus inquiétant reste bien sûr les applications au niveau du contrôle mental.

Selon les études de Michael Hutchison, présentées dans son dernier livre « Mega Brain Power », le cerveau fonctionne dans une bande de fréquences dominantes relativement étroite. Une stimulation extérieure du cerveau, avec des signaux électromagnétiques, peut entraîner le cerveau ou le bloquer en phase avec un générateur de signal externe.

Votre cerveau qui normalement passe d’une fréquence à l’autre selon vos différentes activités se retrouverait bloqué dans une seule fréquence, celle envoyée par un émetteur radio et choisie par celui qui l’a branché. Il est ainsi possible d’imposer un rythme différent au cerveau d’une personne ; ses pensées, ses émotions et sa condition physique en sont altérées.

Les retombées des rayonnements issus du réseau d’antennes du HAARP n’ont rien d’anodins à la lumière de telles études. Que dire de celles du Dr. Jose M.R. Delgado qui a démontré le caractère manipulable du cerveau, ses premiers résultats étant publiés en 1952. Par la suite il a su transformer radicalement les pensées ou l’état émotionnel de son cobaye, et ceci à distance, en modulant la fréquence et la forme de l’onde.

La Constitution de l’Organisation culturelle, scientifique et éducative des Nations Unies (ONU) nous annonce franchement la couleur :

« Comme la guerre commence dans l’esprit des gens, c’est dans l’esprit des gens que les moyens de défendre la paix doivent être programmés »

Un autre aspect sombre de ce dossier est l’utilisation de produits chimiques dispersés dans l’atmosphère pour augmenter l’efficacité des ondes envoyées par HAARP. Les chemtrails (trainées chimiques) recouvrent la planète depuis le milieu des années 90. Nombreux sont les observateurs qui les ont dénoncés et ont analysé leurs retombées, remarquant la présence de particules d’oxyde et de polymères fins d’aluminium, de bactéries exotiques, de virus et, dans la quasi totalité des échantillons, des sels de baryum. Ce dernier facilite la conductivité dans l’air, et donc le fonctionnement du système HAARP, et peut servir de couche protectrice à d’autres matériaux, pour bien les protéger de températures extrêmes par exemple, ou cacher certaines substances. De quoi soupçonner une guerre biologique combinée aux manipulations du climat comme du cerveau humain.

Ce texte ne visant pas à refaire les enquêtes disponibles sur le marché, je vous incite vivement à vous informer plus longuement en consultant le site officiel du projet HAARP.

Vous pourrez ensuite comparer la version officielle avec le rapport du Groupe de Recherche et d’Information sur la Paix et la sécurité (GRIP), ou l’excellent livre « Les Anges Ne Jouent Pas De Cette HAARP » de Jeane Manning et Dr. Nick Begich, disponible dans sa version française aux éditions Louise Courteau.

Comme il serait intéressant de voir nos médias si bien intentionnés embrasser ce sujet avec ardeur et s’investir pour éclairer les populations afin de protéger notre environnement comme notre liberté de penser !

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